Bretagne

La Bretagne est une entité géographique et culturelle de la France et une des nations dites celtiques. Péninsule de l’extrémité ouest de la France, elle entourée de la manche au nord, de la mer celtique et de la mer d’Iroise à L’Ouest et du golf de Gascogne au Sud. Elle abrite en son centre le Menez Are (les Monts d’Arrée) et quelques forêts célèbres pour leurs légendes. À l’ouest et au Sud, dans le Breizh Izel (la Basse Bretagne) on parle une langue brittonique, le Breton. Dans le Breizh Uhel (la Haute Bretagne) on parle le gallo. L’usage de ces deux langues s’efface devant celui du français à partir de la moitié du XXe siècle. La tradition bretonne offre un folklore riche en contes, chants, musiques et danse. Mais aussi des plats connus, tels que la crêpe ou le kouign aman. Le drapeau de la Bretagne est le “Gwen ha Du” (Blanc et noir).

Extrait de la page Wikipédia

Nourriture littéraire

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Anjela Duval (1905-1981)

Poésie

Kan an Douar (Le Chant de la Terre)

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Pierre-Jakez Hélias (1914-1995)

Roman autobiographique

Le cheval d’orgueil

Nourriture culinaire

Le far Breton | Dessert
Recette présentée par Élise Argouarc’h

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Ingrédients

  • 180 g de farine blanche (1 ½ tasse)
  • 150 g de sucre (⅔ tasse)
  • 4 œufs
  • 1 pincée de sel
  • 75 cl de lait chaud (⅓ tasse)
  • Pruneaux dénoyautés

    Outils de conversions

Préparation : 10 min
Cuisson : 45 min

1. Mélanger la farine, le sucre et les œufs.

2. Ajouter le lait lentement, pour éviter les grumeaux.

3. Déposer les pruneaux dans le fond du plat qu’on aura beurré préalablement.

4. Verser le mélange dans le plat. 

5. Cuire 45 minutes au four à 400° F.

Anecdotes

« Je me souviens, c’est Novembre et ça s’entend. La pluie venteuse tape en rythme sur la fenêtre. J’ai dix ans. Je suis assise à la grande table de chêne, labeur des samedi après-midi de pluie : les devoirs d’école. Mais rien n’est grave, car tout autour de moi, une odeur monte, s’étale, m’encourage à finir d’apprendre… L’heure du gouter approche. Maman sort du four un far brun doré. Il faut attendre encore un peu, c’est meilleur un peu froid. Mais lorsque j’ai fini de travailler, l’odeur me pousse vers le plat recouvert d’un linge. Je le soulève discrètement et mange un des coins encore tiède et tout soufflé. La croute moelleuse, l’épaisseur encore humide de lait du far, le sucré des pruneaux… C’est impossible d’attendre! 4h moins le quart, je mets la table pour le gouter. Et nous asseyons autour du far qui nous réchauffe l’automne. »

Élise Argouarc’h